Dans cet article, on va vous guider pour choisir les lacets parfaits pour le triathlon, un détail qui peut faire toute la différence dans vos transitions. Nous parlerons des matériaux utilisés, du prix à prévoir, et surtout de l'importance de l'ajustement au pied. On évoquera également le gain de temps en transition et la facilité d'installation des lacets spéciaux. Enfin, on fera un point sur les lacets "mainstream" et l'avis des experts.
Les divers matériaux
Quand on parle de lacets pour le triathlon, le matériau joue un rôle important. Vous ne voulez pas passer des minutes à refaire vos lacets après la natation, n’est-ce pas ? Les lacets élastiques, souvent en silicone ou en polyester, sont la solution. Souples et résistants, ils permettent un ajustement parfait sans avoir à les reserrer constamment.
J'ai personnellement testé différents types de lacets, et rien ne vaut les modèles en silicone. Leur élasticité fait qu’ils épousent le pied, même si celui-ci gonfle légèrement pendant la course.
À quel prix ?
La fourchette de prix est assez large, mais inutile de casser la tirelire pour un bon modèle. Comptez entre 7 et 15 euros pour des lacets de qualité. Certains modèles haut de gamme peuvent monter à 20 euros, mais sauf si vous cherchez une performance ultra-précise, la gamme moyenne fera parfaitement l’affaire.
Pour ma part, j’ai trouvé un modèle à 10 euros qui fait le job depuis plusieurs saisons, donc à moins d'être un puriste, pas besoin de se ruiner.
Épouse le pied
Un bon lacet doit épouser votre pied comme une seconde peau. Rien de plus frustrant que des lacets trop serrés ou, au contraire, trop lâches. Les lacets élastiques offrent cet ajustement parfait. Ils s’adaptent à la forme de votre pied et évitent l’effet garrot qui peut survenir avec des lacets traditionnels.
Si vous avez, comme moi, les pieds qui gonflent après une bonne séance de vélo, ces lacets sont une véritable bénédiction. On ne sent plus aucune gêne lors de la course à pied.
Un gain de temps lors de la transition
C’est bien connu, chaque seconde compte en triathlon. Imaginez sortir de l’eau, enfiler vos chaussures, et hop, vous êtes déjà sur le vélo. Pas besoin de s’arrêter pour faire vos lacets ! Les lacets élastiques sont conçus pour cela : vous les installez une fois, et c’est fini, plus besoin d’y toucher.
En tant que triathlètes, nous avons tous vécu cette transition où l’on perd du temps juste parce qu’un lacet s’est défait. Avec ces lacets, c’est du passé.
Installation rapide
Installer des lacets élastiques, c’est un jeu d’enfant. En moins de cinq minutes, vos chaussures sont prêtes pour l’action. La plupart des modèles sont accompagnés d’un petit guide d’installation, et même sans, c’est assez intuitif.
Pour les plus réfractaires à la nouveauté, je vous rassure, l’installation est un jeu d’enfant. Une fois installés, vous les oubliez, et vous n’avez plus à vous en soucier.
Les lacets mainstream
Vous avez sûrement déjà entendu parler de marques comme Lock Laces, Xtenex ou Nathan. Ces modèles sont plébiscités par de nombreux triathlètes pour leur fiabilité et leur qualité. Ces lacets, testés et approuvés, offrent un bon compromis entre confort et performance. On ne va pas se mentir, si vous cherchez des valeurs sûres, c’est vers ces modèles qu’il faut se tourner.
Personnellement, je suis un fan des Xtenex. Le système est simple, efficace, et je n’ai jamais eu de souci avec.
Les diplômes du coach
Et pour terminer, un petit mot sur les experts qui nous accompagnent. Nous avons la chance d’être coachés par Arthur Roux, kinésithérapeute du sport et coach triathlon. Son expérience et ses conseils nous permettent d’optimiser chaque détail, jusqu’aux lacets. Sa recommandation ? Ne sous-estimez jamais l’importance du matériel, même des lacets. Ce sont parfois les petites choses qui font la différence.
Alors, prêts à faire un choix éclairé ?
Comments