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Arthur Roux

Comprendre le Training Stress Score (TSS)

Le Training Stress Score (TSS), c’est un peu comme un GPS pour votre entraînement. Il mesure l’impact d’une séance sur votre corps, en tenant compte de l’intensité et de la durée comme un coaching cyclisme. Dans cet article, on va décortiquer tout ça ensemble, pour que vous puissiez l’utiliser comme un pro dans votre préparation triathlon.


Résumé en bullet points :

  • TSS : un outil pour mesurer la charge d’entraînement.

  • Il combine intensité et durée pour évaluer l’impact des séances.

  • Utile pour éviter le surentraînement ou les phases trop légères.

  • Indispensable pour optimiser la récupération et la performance.

  • Requiert des outils spécifiques comme un capteur de puissance ou une application dédiée.


Qu'est-ce que le Training Stress Score (TSS) ?

Le TSS, c’est un chiffre unique qui traduit l’impact global d’un entraînement. Il est basé sur deux facteurs principaux : la durée de la séance et l’intensité relative par rapport à votre seuil. Imaginez une sortie vélo d’une heure à fond : ça donne un score élevé. À l’inverse, une balade tranquille sur 30 minutes affichera un score bien plus bas. C’est un indicateur simple mais puissant pour comprendre ce que votre corps encaisse.


Pourquoi utiliser le Training Stress Score dans votre entraînement ?

Le TSS vous aide à savoir si vous êtes sur la bonne voie, ni trop, ni trop peu. On est souvent tenté d’en faire trop, surtout quand la motivation est là. Mais le surentraînement, c’est le meilleur moyen de stagner ou, pire, de se blesser. Avec le TSS, on peut doser, ajuster et maximiser les résultats en respectant notre physiologie.


Comment est calculé le Training Stress Score ?

Le calcul du TSS repose sur une formule mathématique qui utilise votre FTP (Functional Threshold Power), ou votre fréquence cardiaque maximale selon la discipline. La formule combine durée et intensité pour donner un score global.


Par exemple :

  • 100 TSS = une heure à 100 % de votre FTP.

  • 50 TSS = une heure à 50 % de votre FTP.


C’est là que les outils comme les montres GPS, les capteurs de puissance ou les applis type TrainingPeaks entrent en jeu. Sans eux, c’est compliqué d’être précis.


Combien de temps faut-il pour maîtriser l'utilisation du TSS ?

Pas besoin d’être un ingénieur en données pour s’y retrouver ! En quelques semaines d’utilisation, vous serez à l’aise. Ce qui compte, c’est d’observer les tendances : est-ce que votre TSS hebdomadaire augmente ? Diminue ? C’est en jouant avec ces chiffres qu’on apprend à mieux se connaître. Personnellement, ça m’a pris environ un mois pour en faire un outil clé dans mon plan d’entraînement.


Quels sont les coûts ou outils nécessaires pour suivre le TSS ?

Pour suivre votre TSS, il vous faudra :

  1. Un capteur de puissance ou une montre GPS avancée.

  2. Une application comme TrainingPeaks ou Strava Premium.


Côté budget, comptez entre 200 et 600 € pour le matériel de base. Oui, ça représente un investissement, mais si vous êtes sérieux dans votre préparation, ça vaut largement le coup.


Quels résultats espérer en suivant votre TSS ?

Suivre le TSS, c’est comme avoir un guide qui vous dit quand pousser et quand lever le pied. En l’intégrant bien, vous pouvez espérer :

  • Une meilleure progression sans blessures.

  • Un équilibre parfait entre entraînement et récupération.

  • Une préparation optimisée pour vos objectifs spécifiques.


Perso, j’ai vu un gain notable dans mes performances au bout de 3 mois d’utilisation rigoureuse.


Comment mesurer de manière fiable l'impact du TSS sur vos performances ?

Pour voir si le TSS fonctionne pour vous, analysez vos résultats. Est-ce que vos chronos s’améliorent ? Votre fatigue diminue-t-elle ? L’objectivité est clé ici. Les plateformes comme TrainingPeaks proposent des graphiques qui montrent la relation entre charge d’entraînement (TSS) et performance.


Comment bien intégrer le Training Stress Score dans votre plan d'entraînement ?

Le TSS est un outil, pas une fin en soi. Commencez par définir vos objectifs : un Ironman ? Un sprint ? Ensuite, répartissez votre charge hebdomadaire pour éviter les pics trop élevés. Par exemple, une semaine à 400-500 TSS pour un triathlète amateur est une base solide.


La gestion de la charge d'entraînement :

Planifiez des semaines avec des charges progressives suivies de semaines de récupération.


L'équilibre entre récupération et intensité :

Respectez les journées "faciles". Une erreur commune est de penser qu’on progresse uniquement les jours durs.


L'adaptation à vos objectifs spécifiques :

Chaque discipline a ses exigences. Si vous ciblez un marathon, vos TSS en course à pied seront prioritaires.


Avec quels outils ou coachs pouvez-vous suivre votre TSS ?

Un bon coach connaît le TSS comme sa poche. Travailler avec un expert permet d’éviter les erreurs de débutant. Si ce n’est pas possible, misez sur des applis fiables : TrainingPeaks, Strava, ou encore Garmin Connect.


Comment BIEN utiliser le Training Stress Score au quotidien ?

Collaborer avec un coach expert en TSS :

Un coach peut interpréter vos données et ajuster vos plans en temps réel.


Trouver une plateforme ou une application fiable pour suivre votre TSS :

Choisissez une plateforme intuitive. Perso, j’adore TrainingPeaks pour ses graphiques clairs et ses conseils adaptés.


En résumé, le Training Stress Score est un allié incontournable pour progresser en triathlon sans vous cramer. Apprenez à l’apprivoiser, testez, ajustez, et surtout, amusez-vous dans le processus. Bon entraînement à tous ! 💪

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